Arrivée en ville

Athena arriva avec une caravane marchande dans la capitale de Baal. Enfin c'est se qu'on lui avit dit. Elle avait fait confiance en ces marchand itinérant qui l'avait aidée près du désert. Elle voyait des aura identique à la force qui l'avait ammenée ici. Après des recherche s'était la lune de Baal. Elle adorait son aura sombre et voulais la servir. Mais par où aller? Elle n'en savait rien. Le nnnmbre important d'aura lui iniquant qu'elle était arrivée en plein jour. Elle alla de ruelle en ruelle en suivant une aura puis une autre. Mais elle ne savait pas où elle allait. De l'extérieur on la voyait faire d'innombrables aller et retour.

Se dressant, la main enserrant son bâton, sur une menue place carrefour de quatre artères de la capitale, le paladin comme les quelques badauds présents, discutant d'inepties insipides, suivait du regard l'hère qui frénétiquement parcourait les ruelles, le pas hésitant, et le chef basculant d'un côté à l'autre de chaque ruelle qu'il arpentait.

*Une aveugle serpentant dans les ruelles de la capitale, intéressant...*

Ces automatismes d'enfant égarée étaient assez familiers à l'érudit, qui se contentait d'observer... ou plutôt allait le faire, alors que deux petites frappes approchaient, en détournant par crainte leurs yeux et leurs têtes à l'instant où ils croisèrent le regard noir du paladin, qui chape abaissée laissait voir son visage, et le léger rictus déformant son faciès, un sourire voilé distordant une moue de dégoût. Les deux voyous ne se laissèrent démonter, et au su des spectateurs laissaient paraître les basses convoitises qu'ils laissaient peser sur la jeune personne, ou ses effets, cela ne pouvait guère être déterminé. Etrangement, l'érudit observa la scène avec intérêt, pressentant en cette enfant une force, là encore bien familière, d'autant qu'après réflexion le visage de cette jeune personne lui évoqua une connaissance lointaine, mais dont hélas il ne pouvait se remémorer en l'instant présent.

Les aller et vennue de passant avait fait complètement perdre son sens de l'orientation à Athena. Elle savait parfaitement se diriger quand elle avait déjà été à un endroit.Mais ici tout était different.Au moment où elle sétait enfin fixé sur une aura de taille moyenne à suivre jusqu'à sa destination, elle s'arrêta. Derrière elle se trouvait 2 auras differentes des autres. En effet ces 2 auras la fixait avec des intentionns plûtot mauvaise.Des voleurs? Surment. Elle par conclure à des mioches qui cherchait à faire les interessant, ou des adultes inconcients. Malheureusement pour eux ils décidèrent d'essayer de lui voler une de ses dagues en fessant mine de rien. Mais elle était beaucoup trop rapide pour eux et elle les mit a terre en quelque seconde.
"Hors de ma vue, les mioches."
*Trop faible. Même si c'est des adultes ils ne voudraient pas mieux qu'un chien*

Légèrement abasourdis, les badauds contemplaient la scène dans un mutisme et une pétrification collectifs, chacun observant inquiet les deux malfrats être mis à terre avec facilité par la jeune aveugle, jusqu'à ce que le paladin sente quelques regards se poser sur lui, alors que faisant claquer son bâton sur le sol dallé il s'avançait, la démarche lente mais assurée, tandis que son regard ne vacillant pas toisait les deux faces étendues contre terre, les jugeait, sous les imprécations de pitié que les leurs lançaient, sans trouver écho dans l'âme de l'érudit dont les deux morveux craignaient la présence, leurs coeurs battant de plus en plus vite tandis que la distance les séparant du paladin s'amenuisait, pour ne plus atteindre qu'un mètre, noté par le fracas sec du jonc martelant le dernier pavé sur lequel Ellamin appliquait son pied droit.

"Et que comptez-vous faire d'eux désormais, demoiselle aux pupilles d'argent?"

Tandis que la ville puait le temps passant de plus en plus la mort, de nouveau cette odeur s'accentua, couvrant la jeune personne qui faisait front au paladin... du moins essayait-elle, en maintenant ces voleurs à la petite semelle au sol. Peut-être l'aveugle avait-elle pu noter la présence de gardes à une vingtaine de mètres, mais peut-être sa propension à couvrir son entourage de la chape de la mort surpasserait ses réminiscences de prudence. Quoi qu'il en soit, le destin de ces gosses était scellé aux yeux du paladin s'attardant sur les visages blêmes de ces cadavres en sursis mais drapés d'opprobre.

Les auras alentour furent secouée d'un frisson collectif. Mais Athena n'en tenait pas compte. Ce n'était que des êtres innofancif après tout. Sauf peu être celle qui s'approchait d'elle, avec une beaucoup plus forte puissance que les autres. Elle était entourée de se qu'Athena pensa être ses chiens de garde. L'aura s'arrêta à environ 1 mètre d'elle et des 2 mioches voleurs. L'aura parla d'une voix plutot grave, celle d'un hômme d'environ 30 ans peu être un ans plus jeune. A l'approche de l'homme , une douce odeur de mort apparut. Une magnifique et merveilleuse odeur de mort. L'homme lui demanda se qu'elle allait faire d'eux. Elle prit quelque instant pour répondre. Les mioches ne valaient pas la peine qu'elle les tue pour leur affront. Mais ils ne s'en sortiraient pas à si bon compte.
"Rien de spéciale., juste le chatiment de base réservers au mioches qui se prenne pour des voleurs."
Puis elle s'abaissa à auteur des mioches. Ils étaient toujours au sol. Le regard d'Athena leur glaçais le sang. Dans une voix sans appelle ,encore plus terrifiante au yeux des morveux, elle leur donna un conseil.

"N'oubliez rien en partant sale morveux"
Rapidement s'en qu'ils n'aient eu le temps de réagir et même que quiconque comprenne ses paroles, Athena trancha les mains des pseudo voleur. Ils s'enfuirent à toute jambes en prennant leur main avec leurs bouches. Jamais dans ce village on n'avait assisté a des voleur aussi pitoyable.

Le paladin se serait attendu à une pléiade de réactions différentes... mais celle qu'adopta la jeune femme le surpris totalement. Du laxisme au zèle irraisonné, l'érudit avait déjà pu observer un nombre édifiant de réactions différentes, stupides, vaines, mais pour la première fois depuis des années il pouvait considérer une réponse ferme, juste et pédagogique en guise de réprimande. Cette jeune aveugle avait agi... comme lui l'aurait fait, et comme sans doute aucune autre personne en cette cité ne l'aurait fait. Considérant les vauriens qui prenaient la fuite, Ellamin revint à la jeune aveugle, détaillant l'enfant, la jaugeant d'un regard, son faciès adoptant une mine grave, ponctuée d'un léger sourire, qui ne décrut qu'au son de chausses métalliques claquant sur les pavés derrière lui.

*Véritablement splendide...*

"La première fois que je peux admirer l'une de mes sentences sans que je sois obligé moi-même de prêter un poing sanctionnateur..."

Le paladin leva la main, signifiant aux milices de faire halte, ne pas intervenir, alors que cette jeune inconnue avait outrepassé une loi d'Homme... pour appliquer une sanction divine. L'un des deux gardes seulement se retenant, Ellamin se retourna vers le milicien approchant, ses bottes frappant les pavés avec lourdeur, et apposant une fois qu'il fut assez près son pied sur la chausse du soldat, afin qu'il ne puisse se retirer, le paladin fit tournoyer son bâton, et le fit s'abattre avec une force dont attesta le fracas du gorgerin sur la tempe du garde, qui en un râle contenu par la dislocation de sa mâchoire sous la rudesse du coup s'effondra net alors que l'érudit avait à peine levé son pied. Revenant vers la jeune femme, il lança à son adresse un avertissement d'un ton non péremptoire mais plutôt conciliant, quoiqu'il conserva pleinement son sérieux, tandis qu'il percevait la présence du second garde, récalcitrant à toute intervention, se gardant même de venir en aide à son acolyte... pour l'instant.

"Vous n'avez pas autorité pour juger les criminels, de toute évidence. Les sentinelles étant plutôt hermétiques quant à la prégnance de notre capacité à condamner en parallèle de la loi, mieux vaudrait pour vous que vous disparaissiez sur le champ de cette place..."

Ellamin lança un regard en arrière, et constata qu'enfin le garde prenait le parti de venir à leur rencontre, la main se portant sur le pommeau du semblant d'épée pendant à son flanc gauche.

Alors l'homme avait les même sorte de sanction!*Interessant*Athena sentit qu'une aura s'approchait d'elle. Elle avait fait quelque chose de mal? L'homme était toujours debout à côté d'elle.Il arrêta l'aura qui s'était approchée. L'homme fit un geste ample et mit a terre l'aura. D'après ses mouvement Athena pensa qu'il avait un baton ou une arme de grande taille.
" Ils n'avait qu'a la mieux appliquée s'ils ne veulent pas que d'autres s'en charge à leur place. Votre idée est putôt bonne. Aurriez-vous une direction à m'indiquer?"
Elle n'avait pas eu d'autre choix que de demander son chemin. Une autre aura s'approchait rapidement l'air plus déterminée que l'autre. Elle savait grâce à ses vas-et viens qu'il y en avait 2 autres. Mais combien en restait-il? Elle l'ignorait completement. L'important était de partir d'ici.

"Ils se contentent d'être aussi inutiles que leur grade le leur permet..."

Le paladin rit amèrement, ce triste constat ne lui inspirant qu'un profond dégoût pour ces impotents. Il ne l'avait remarqué plus tôt, mais s'approchant de la jeune fille tout en souriant, il devina le teint hâlé de l'enfant, semblable au sien, qui semblait indiquer, en plus de son attitude d'hère errant de tantôt que l'on pouvait au premier abord attribuer à sa cécité, que la créature ne devait pouvoir se repérer en milieu citadin. La question de la jeune fille parut alors destinée à rester sans réponse, une simple indication de sa part ne pouvant suffire à aider l'enfant en fâcheuse posture. Méditant, jaugeant toujours du regard le garde s'avançant saisi d'un courage inattendu vers son acolyte cacochyme, l'érudit dut se résoudre à tirer de sa besace un parchemin, qu'il frôla ensuite de son index droit, tout en le maintenant de son poing gauche armé, en exécutant quelque sortilège occulte selon ses légères gesticulations au-dessus du morceau de papier, puis le déposa directement dans la paume de l'enfant, revenant au soldat qui abandonnant son comparse qu'il avait rapidement examiné avait finalement bien tiré l'épée.

*Je ne peux laisser une enfant avec un tel potentiel finir dans une geôle...*

"Placez ce parchemin contre votre poitrine, songez au lieu que vous souhaitez rejoindre, et prononcez le nom d'Arun."

Cette enfant paraissait jeune, toutefois le nom d'une des déités païennes des peuplades nomades dont elle devait être originaire suffirait-il si elle l'énonçait à activer correctement le parchemin, et la téléporter en un lieu plus sûr. Du temps qu'il sifflait ses explications, le paladin sentit toutefois le garde continuer d'approcher, et ne put que contrer l'épée que l'homme portait pointe en avant vers lui de son bâton, avant de confronter le bougre, son arme se parant de flammèches jusqu'à son avant-bras gauche.

"Comment oses-tu t'attaquer à moi, vil chien? Non content d'attaquer un Glistern, tu lèves ton arme contre une de ses ouailles?"

L'homme tenta un second assaut, mais Ellamin profita que l'impudent s'approche pour le saisir à la gorge une fois l'assaut de l'arme repoussé d'un vif coup de jonc, et défourrant de la main droite son épée appliqua sans ciller l'acier froid de la lame contre la trachée de la sentinelle mal avisée, pour l'entailler profondément sous une effusion de sang qui macula abondamment sur un mètre l'un des pans encadrant la ruelle.

*Porter assistance à cette prodige sera sans effet si elle reste trop longtemps sans agir.*

"Dépêchez-vous, jeune fille, votre tête sera plus facile à faire tomber que la mienne, si vous gaspillez trop de temps..." lança-t-il, abandonnant la dépouille du garde zélé sur les pavés de la ruelle, en tendant la cime de son épée gorgée de perles écarlates envers l'enfant.

L'homme était de son avis ils étaient inutile. Soudain , alors qu'elle attandant un idiquation plus orale comme à gauche ou à droite, il lui mit à sa grande surprise un papier dans sa main. Il lui dit de le mettre sur sa poitrine de penser au lieu où elle voulait aller et de dire Arun.L'homme se fit attaqué par une aura identique à la première.Après son premier assaut l'aura ne se demonta pas et en refit une deuxième . Elle se fittranchée et une douce trainée de sang embauma la ruelle.Elle ne connaisant pas beaucoup d'endroit et ne voulais pas retorné dans le désert après un si long voyage.Mais le temps pressais,l'homme le lui rappella.
Ele n'aimait pas se sentir redevable pour sa fuite mais trouva vite le moyen d'apaisser cette état de conscience. D'un geste ample elle envoya des couteaux spéciaux en prenant soin de retirer la protection au deux auras qui arrivait en traite derrière leur dos,une derrière elle , une derrière l'homme. Elles s'éteignirent sur le champ.
"Merci"
Elle mit le parchemin sur sa poitrine
"Arun"
Elle se téléporta à une auberge pour des marchand que lui avait conseillé les marchand qui l'avait gentillement ammenné ici. Peu de temps après les 2 couteaux laisse sur place furent dissous sous les yeux ébalit des quelque personnes encores préssnte sur le lieu

La jeune fille s'étant exécuté, le paladin se satisfit que son tour de passe-passe ait marché, l'enfant ayant pu utiliser convenablement le parchemin, l'aura magique subsistant attestant de l'efficacité du sortilège. Du temps que quelques badauds ne prennent la fuite pour les uns et n'aillent alerter plus de gardes pour d'autres, l'érudit se pencha, et ramassa sur la scène de cet étrange spectacle passé une lame, courte mais effilée, aux damasquineries originales... du moins es-ce tout ce qu'il eut le temps de voir, l'arme disparaissant soudain au sein de sa paume.

"Brave petite..."

Revenant vers la place, Ellamin ne tarda pas à voir surgir trois sentinelles, la fureur dans l'oeil, l'un se précipitant même en levant la hampe de son hallebarde, mais trop lentement pour que le paladin ne le saisisse à la taille, et ne l'envoie tête la première vers un muret, où il s'effondra en poussant un grommèlement empli de hargne et de douleur. Cet acte ne manqua pas de susciter le mépris des autres gardes, qui toutefois se retinrent, alors que froid et péremptoire il les toisait, brandissant son bâton vers les philistins.

"Qu'un seul approche et je l'offre au Père Céleste sans attendre. Ces larves ont osé menacer un sujet qui dans son bon droit a appliqué le code de Shamash, et pire ont porté leurs armes contre moi, mais ont bien sûr échoué. Je ne saurais trop vous conseiller de clore cet incident..."

Le ton du paladin était des plus acides, et la lueur se lisant dans son regard au travers des flammes dansant sur son bâton et son poing suffisaient à convaincre, tant les badauds attirés par tout ce tumulte que les gardes, dont la hargne, stupide et stérile, demeurait, mais se taisait sous la crainte qu'inspirait l'érudit courroucé.

*Bons chiens...*

Tandis que les sentinelles passaient sur cet incident, quittant le pas morne la place, Ellamin lança son regard vers la ruelle qu'il avait quittée, se retrouvant rapidement seul à fixer la venelle pavée.

*Continuez dans cette voie, jeune fille, et nous nous reverrons bientôt. Peut-être est-ce bien là ce que vous méritez...*