Sur les cote de la rivière et a l’entrée de la ville

Invité

Je marché tranquillement prés des eaux tranquille de cette rivière. L’eau clair et calme coulai sans bruit. Un endroit si pur et d’une tel beauté qui change de la foret noir et lugubre. Je m’assis au bord de l’eau qui a mes pied virevolté sans bruit.

« quelle endroit tranquille »

Elle s’allongea et regarda la beauté du ciel.

#je me demande si il y a des gens qui viennent par ici…#

"Mademoiselle..."

Inclinant légèrement le chef en guise de salut, l'épée tintant en son fourreau, que les masses d'air projetées depuis les cascades dont le brouhaha s'élevait en amont, contrastant avec le flegmatique et silencieux fleuve, portant quelques embrunts délicieusement rafraichissants qui stagnaient dans l'air, se portant sur nos visages, ainsi que quelques fines gouttes que je perçus, perlant sur mes joues alors que de ma main droite je les retenais, je poussais un léger soupir, et rapidement, dominant la rivière, m'assis en tailleur, ma main gauche portée sur la poignée de mon épée retenant le fourreau, pour ne point qu'il m'incommode alors que je prenais place. Poussant un léger soupir, perdant mon regard sur l'affluent, je feignais de ne pas considérer la jeune fille se tenant non loin, mais loin de là l'assurait bien de sa présence, alors, qu'incommodant, je me permettais d'adresser la parole à la juvenile créature.

"Cela est la première fois que je vous vois ici, chérubine, ce me semble. Enfant des provinces?"

Invité

Je regarda l’homme qui venait de me parlait. Sa tenue blanche m’indiquait qu’il est de Yam.

« oui c’est la première fois que je viens par ici. Je me balade. Puis-je savoir comment vous vous appelez? »

Je remarqua les gouttes d’eau sur la joue de cette homme ainsi que la délicatesse de son geste et son soupir m’intrigua ainsi que sa présence.

« et qu’elle est le tourment que vous avez cette air ne vas pas a une personne de Baal »

Je détacha mon katana pour le poser à coté de moi. Puis avec un regard au ciel je m’allongea dans l’herbe fraîche en attendant une réponse de cette inconnu.

#Baal??#

Passant d'intrigué à soupçonneux, je tournais la tête vers la jeune fille, lui adressant un regard torve, marqué par l'un de mes sourcils haussé, je réponds à la prime interrogation de la créature, dont j'ose espérer que seuls ingénuité ou lapsus ont pu placer telle désignation entre ses fines lèvres, n'augurant que rancoeur de la part de nombre de citoyens de ce pays à leur simple déclamation.

"Je me nomme Malash Kezahr, et régis les forces armées déployées dans les cités et en province en tant que Maître des Gardes et Milices. Peut-être cela pourra-t-il vous paraître une offense, mais..."

Marquant une pause, ma main droite se portait avec célérité jusqu'au pommeau de mon arme, et la tirait hors de sa gaine si vite que le vrombissement de la lame ne fut audible qu'une fois la pointe brandie à l'encontre de la gorge de l'enfant, l'épée brandit d'une main aussi sûre que son fil ne tremblait pas.

"Prononcer le nom d'un dieu des autres terres en ma présence, même si il est admis que je sois le moins rigoureux vis à vis de la haine à nourir envers les autres peuplades vulgairement nommées impies, il est des désignations auxquelles je ne peux souscrire, d'autant si elles me compromettent totalement. Alors, chérubine, d'où vous vient ce terme suscitant tant de haine en ce pays, et la hardiesse de le déclamer avec tant de candeur?"

Invité

Je senti la lame froide de l’épée sur ma gorge. Un petit sourire se glissa sur mes lèvres. Je continua a regarder le ciel et dit en même temps d‘un ton calme.

«pardonnez moi si je vous est offenser. Ce si n’est pas mon but donc j’en déduit que Yam est votre dieu. Mais pourquoi vous adorez Yam? Mais en tous cas je vous demande vraiment pardon si mes mots en ce lieu vous ont fait sortir votre épée. Mais vous avez rien a craindre de moi. »

J’attendais la réponse de Malash Kezahr et je sentais l’air frais sur ma peau et une goutte d’eau glissa de son épée sur mon coût.

Mon oeil droit tiquant, je reportais mon épée à sa gaine sur le champ, faisant basculer mon regard quelques secondes alentour, m'attardant davantage sur l'affluent, puis revins à la jeune fille, qui si ce qui me paraissait à quelques instants alors comme signe de sa dévotion à l'autre culte semblait n'être que de l'agnostisme bien peu à propos m'interrogeait de façon bien singulière, sur un sujet d'autant plus original, bien que le lieu, d'ordinaire centre névralgique d'où s'extirpaient toutes mes reflexions de cette part insondable de mon esprit jusqu'à ma conscience la plus haute, était propice à tel questionnement.

"Je ne vous crains pas, pas plus que vous ne semblez me craindre, ni même le courroux des autochtones. Une offense éculée, allochtone, ceci est clarifié, vous pouvez même vous targuer de savoir me soutirer d'aimables pensées. Je doute que vous puissiez saisir d'où vient mon dévouement à Yam, bien que ses enfants de chair et de sang soient davantage l'objet de mon attention que le Seigneur lui-même."

M'amusant de l'interêt de la chérubine, je souriais courtoisement à l'enfant, dont les paroles laissianet bien paraître cette sorte de candeur qu'il me semblait saisir lorsque par inadvertance lui vint son trait d'esprit sur Baal dont ressortit une équivoque portant mon poignet au pommeau de l'arme pendant sur mon flanc gauche, rutilante alors que le Soleil dorait le fourreau dans lequel elle reposait, plus encore alors que quelques gouttes perlant sur son bois immaculé fendaient la lumière et la projetaient ainsi que quelques rais prigmatiques forts légers alentour.

Invité

Je senti la lame se retirer de mon coups la délicatesse de ce geste retenu mon attention. Mon regard se tourna vers cette homme qui me regarda nos regard se croisèrent et en le regardent dans les yeux je lui dit.

« pourquoi un homme de votre rang vient par ici là ou il peut être attaquer par l’autre camps? »

Je regarda le rivière puis mon regard se posa sur Malash son air pensif m’intrigua mais je n’osait lui demandait se qu’il avait.

#par quoi un homme de haut rend ,comme lui, pourrait être perturbait #

"Bien que doté d'un grade élevé, je n'en demeure pas noble, si là est ce qui vous fait vous poser cette question. Je me suis arraché à la fange, mais cet endroit demeure aussi paisible qu'autrefois."

Le terme de "camp" me choqua, d'autant que de tous les êtres du royaume, je devais bien être le seul à ne pas raisonner en terme de camp, mais de pays. Ma rencontre tantot avec le mercenaire semblant nourrir les même considérations était bien l'excepetion qui confirme la règle. Riant soudain, ma reflexion passa à l'amusement, certes mesuré, seul un bref et léger rire s'échappant de ma gorge, telle une raillerie passagère, non d'elle mais de ses idées, marqué comme je l'étais par celles-ci que communiquait cette enfant.

"Quand bien même un individu de "l'autre camp", si c'est ainsi que vous voyez les choses, passerait la rivière et chercherait confrontation, cette lame qui fila sous votre gorge aurait tôt fait de pallier à intentions. Ainsi que je l'ai dit, je ne suis de haute naissance... Faute de titre, c'est par l'épée que je suis venu à ce poste, n'en déplaise à certains. Cela est touchant de votre part, que vous soyiez animée d'une si plaisante reflexion, mais quiconque chercherait querelle devrait s'aviser de toutes manières de ne point être novice dans l'art de l'escrime, ou autres par ailleurs... Qui serait assez mal avisé pour troubler le semblant de quiétude que je recherche..."

Invité

Je le regarda, je n’aurai jamais pensé qu’une personne aussi bien habillé et aussi douer en arme ne soit pas de haut rend. Il ne répondit pas ma question et sans vouloir être trop insistante je lui reposa ma question.

« alors pourquoi vous vous trouvez ici, dans ses lieu. Alors que dans entre les deux pays une guerre peut éclaté et je pense que vous avez des chose a réglé avant. Donc je voudrai savoir quel est le raison de votre promenade par ici. »

Je pensai a une autre question mais je n’osait pas posé a cette personne.

#peut-être que ce regard veut dire qu’il est amoureux#

"Je suis de cette contrée, jeune fille, je naquis non loin d'ici, si vous êtes de province, sans doute ne savez le tumult dont regorgent les grandes cités, plus encore la capitale, où je demeure. Je ne crois pas que cela soit un mal de désirer observer une chose en ce monde filant à son rythme, à une mesure lente, et puissante à la fois."

J'aurais pu m'attarder plus longuement là-dessus, notamment si j'avais été en présence d'une fille provenant de la cité, mais la chérubine devait me comprendre ainsi, enfin c'est de la sorte que m'apparaissaient les choses. Lisant l'interrogation dans le regard de la provinciale, je laissais paraître un fin sourire, amusé par là-même de la réponse que je formulais à sa principale question.

"Si une guerre éclatait, alors je brandirais la lame en ce lieu, si toutefois je me trouvais par hasard ici durant un assaut mené, peut-être pour prendre possession du barrage en amont. C'est une possibilité, mademoiselle, mais je vous souhaite de réfléchir moins, si c'est pour vous encombrer l'esprit de telles inepties, d'autant en pareil lieu."

Invité

Je le regarde et je décida de ne poins formuler cette question qui me trotte dans la tête. Je compris aussi que cette question restera sans réponse, alors d’un mouvement doux et paisible je le regarda et posa mon regard cette rivière qui file avec une grâce sans nom.
Je sentis une goutte d’eau qui s’était former sur ma joue commença a couler, alors avec ma main je l’enleva.

#amoureux, soucieux ou triste va savoir #

"Vous paraissez bien soucieuse, jeune enfant."

Davantage interessé par l'affluent, j'observais la silhouette s'en détachant, et m'y attardais un instant, laissant l'impression que m'inspirait la vision de la donzelle s'agitant par-devant la rivière Tikopia s'exprimer par ce trait s'échappant presque sans que je le perçus de mes lèvres, se mouvant avec langueur en dépouillant la remarque de tonalité.

Invité

Mon regard posé sur la rivière se détourna aux mots de cette homme. Cette question me surpris, et l’on pu le lire dans mon regard. Je ne compris pas pourquoi il me posa cette question.
Son regard, qui du début m’intrigué un peut, semblé de plus en plus soucieux. Et de là je décida de posé cette question.

« si je vous offense ou que vous ne désiré pas répondre dite le. Puis-je savoir si vos yeux veule cacher de l’amour, de la tristesse ou des soucis… peut être pour une personne qui conte beaucoup pour vous et peut être même plus que votre dieux. Sans vouloir vous vexé bien sur. »

"Qui compte plus que mon dieu, hmm..."

Je ne pus retenir un fin sourire, alors que mon regard se reportait sur la jeune fille, aux interrogations formulées avec une candeur touchante, mais de concert avec un regard torve poussant à une reflexion plus sérieuse que celle venant de premier abord à l'esprit d'un être confronté à tel questionnement.

"Amour, tristesse et tracas se mêlent, mademoiselle, je ne sais ce qui vous inspire telles interrogations, mais si elles appellent à une réponse, alors qu'elle apparaisse sous l'affirmative. Mes yeux ne cachent guère qu'un esprit embrumé, confronté à ces trois formes que vous décliniez à l'instant, il est vrai, mais les dénaturant, elles sont soumises à la causalité, non à la corelation, il semblerait... Mais ne prenez pas ombrage, si ma figure vous reflète ceci, je ne souhaite guère vous importuner avec tels ressentiments, loin de moi tout désir de vous mettre mal à l'aise, jeune enfant."

Invité

Je compris par sa réponse qu’il ne voulait pas me répondre avec plus de détaille. Je me contenta de cette réponse vague, mais un peut précise. Une brise qui allait ver yam souffla, il me sembla que l’eau frémie a son passage. Alors avec un regard un peut rêveur je scruta l’horizon droit devant moi, puis je m’allongea sur l’herbe. Je remarqua que de la rosé était apparu sur ce tapi vert.

#profitons du soleil pour ne plus penser a son âme perturber#

"Vous n'êtes pas des terres de Yam, mademoiselle, n'est-ce pas?..."

Déportant mon regard vers l'affluent, je n'abandonnais pour autant la jeune fille, ses propos et sa bonhomie l'éloignant de toute filiation avec les habitants de Baal, mais son ingénuité notamment le regard qu'elle semblait porter sur humains et nature en ce lieu me laissant penser sans qu'un doute subsiste qu'elle n'était ainsi de même de Yam, pas plus qu'elle ne connaissait les lieux, d'autant que ce visage gracile ne m'était aucunement familier. Sortant ainsi de la torpeur dans laquelle le bris de la conversation nous avait plongé, il ne ressortait pas moins, non de mon visage, demeurant totalement neutre, mes lèvres demeurant aussi pincées qu'à l'accoutumée mais en étant agréables de concert avec mes yeux toisant sans ciller les reflets d'or à la surface volatile du fleuve, mais ma tonalité laissant présumer de cette curiosité pavluvienne qui était mienne et qui, je l'avoue, n'était si bien orientée, alors que la ceinture territoriale devait se resserer à l'extrème, de sombre complots étant ourdis par les deux factions, parées je le savais bien à en découdre, sous la poigne d'une nouvelle régence, issue de cette génération à laquelle j'accordais un regard interessé de même que celui qui glissait furtivement sur la silhouette de la jeune enfant gésissant bienheureuse dans l'herbe arrosée par les volutes glaciales frôlant la surface de la rivière.

"Venez-vous d'Ys, jeune fille?"

Ma main glissait légèrement vers le pommeau de mon épée, le survolant juste, ne le frôlant même pas, mais mon poignet demeurant en alerte, mes muscles parés, sereinement ainsi que je le laissais paraître attendant quelque réplique de l'inconnue.

Invité

Je fut surprise de sa question. Ne savant même pas moi d’où je venait, cette question me mit mal allése. Quoi répondre me croira-t-il si je lui dit la vérité, je senti qu’il était prés à me tuer.

« d’où je vient, vraiment… je ne sait pas. Lors d’un accident j’ai perdu la mémoire et … mes parent. Alors avent je ne sait qu’elle était ma terre et maintenant aucun camps. Alors détendez-vous rien ne vous seras fait par moi. »

Mon regard resta fixé au ciel et j’écouter pour voir si il allait m’attaquer ou se détendre.